Advantages and challenges to diaspora transnational civil society activism in the homeland / Yaniv Voller (2020)    

Public ISBD Titre : Advantages and challenges to diaspora transnational civil society activism in the homeland : examples from Iraqi Kurdistan, Somaliland and South Sudan Type de document : document électronique Auteurs : Yaniv Voller, Auteur Editeur : Londres [Royaume-Uni] : LSE Conflict Research Programme Année de publication : 2020 Importance : 32 p. Format : A4 Langues : Anglais (eng) Index. décimale : 0330 Rewend, Kurdên li derve | Diaspora, Kurdes à l'étranger | Diaspora, Kurds abroad | ڕەوەند، کوردانی تاراوگە Résumé : L'investissement dans des projets de développement à l'étranger est un effort à multiples facettes qui implique une variété d'acteurs. Il s'agit notamment des gouvernements donateurs et de leurs départements pour l'aide internationale, des organisations internationales, des gouvernements bénéficiaires et des sociétés des pays bénéficiaires. En ce qui concerne ce dernier, l'existence d'une société civile active a été identifiée comme cruciale pour l'avancement des réformes sociopolitiques (Putnam 1995 ; Kaldor 2003 ; Neumayer 2005). Certes, les bailleurs de fonds sont devenus plus conscients de la nécessité de prendre en compte la société civile lorsqu'ils soutiennent des initiatives visant à promouvoir la démocratisation, les droits de l'Homme et la sécurité humaine en général. Le Département britannique pour le développement international (DFID) et l'Agence des États-Unis pour le développement international (USAID), deux des plus grandes agences d'aide soutenues par le gouvernement, ont investi des ressources dans l'étude de l'importance de la société civile dans les pays bénéficiaires et des moyens de encourageant son développement ultérieur (DFID 2012 ; Giffen et Judge 2010 ; USAID 2014). Des travaux plus récents sur la société civile ont cependant reconnu le fait que ces acteurs ne sont pas confinés à des frontières territoriales particulières. Les campagnes de la société civile sont souvent mondiales, impliquant des éléments qui opèrent aux niveaux international et transnational. Un élément, néanmoins, a été globalement négligé à la fois par les décideurs politiques et les universitaires examinant la société civile transnationale, à savoir les communautés de la diaspora. Les réfugiés des décennies précédentes, qui se sont transformés en communautés bien établies en Occident, ont traditionnellement joué un rôle central dans la reconstruction de leur patrie. Mais au fil du temps, ils se sont impliqués dans d'autres aspects de la construction de l'État et de la société dans leur patrie. Comme le conclut l'article, bien qu'il y ait sans aucun doute un empressement parmi les diasporas hautement motivées et talentueuses à contribuer aux changements sociaux et politiques dans la patrie, sur le terrain, il y a des difficultés et des défis. Ces défis peuvent limiter la contribution et entraver l'intégration et la contribution de la diaspora à l'activisme dans le pays d'origine. Les fournisseurs d'aide et les donateurs doivent élaborer des stratégies claires pour intégrer les communautés de la diaspora dans les programmes de développement. Une telle intégration aiderait non seulement à utiliser les avantages que les rapatriés de la diaspora possèdent lorsqu'ils participent à des campagnes de la société civile dans leur pays d'origine, mais pourrait également aider ces rapatriés à surmonter les défis potentiels auxquels ils sont confrontés. Investment in overseas developmental projects is a multifaceted effort which involves a variety of actors. These include donor governments and their departments for international aid, international organisations, recipient governments and the societies in the recipient countries. With relation to the latter, the existence of an active civil society has been identified as crucial for the advancement of socio-political reforms (Putnam 1995; Kaldor 2003; Neumayer 2005). Certainly, aid providers have become more aware of the need to take civil society into account when supporting initiatives aiming to promote democratisation, human rights, and human security in general. The United Kingdom’s Department for International Development (DFID), and the United States Agency for International Development (USAID), two of the largest government-supported aid agencies, have invested resources in exploring the importance of civil society in recipient countries and the avenues for encouraging its further development (DFID 2012; Giffen and Judge 2010; USAID 2014). More recent works on civil society have recognised, though, the fact that such actors are not confined to particular territorial boundaries. Civil society campaigns are often global, involving elements that operate at the international and transnational levels. One element, nevertheless, has been overall neglected by both policymakers and scholars examining transnational civil society, and that is diaspora communities. The refugees of previous decades, which have evolved into well-established communities in the West, have traditionally played pivotal roles in the reconstruction of their homelands. But as time has gone by, they have become involved in other aspects of state- and society-building in the homeland. As the paper concludes, while there is undoubtedly eagerness among highly motivated and talented diasporans to contribute to social and political changes in the homeland, on the ground, there are difficulties and challenges. These challenges may limit the contribution and hinder diasporan integration in, and contribution to, activism in the homeland. Aid providers and donors should develop clear strategies to incorporate diaspora communities in development programmes. Such integration would help not only to utilise the advantages that diaspora returnees possess when participating in civil society campaigns in the homeland, but could also help these returnees to overcome potential challenges that they face. En ligne : https://docs.southsudanngoforum.org/sites/default/files/2020-09/CRP_advantages_c [...] Format de la ressource électronique : PDF Permalink : https://pmb.institutkurde.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=9718 Advantages and challenges to diaspora transnational civil society activism in the homeland : examples from Iraqi Kurdistan, Somaliland and South Sudan [document électronique] / Yaniv Voller, Auteur . - Londres [Royaume-Uni] : LSE Conflict Research Programme, 2020 . - 32 p. ; A4. Langues : Anglais (eng) Index. décimale : 0330 Rewend, Kurdên li derve | Diaspora, Kurdes à l'étranger | Diaspora, Kurds abroad | ڕەوەند، کوردانی تاراوگە Résumé : L'investissement dans des projets de développement à l'étranger est un effort à multiples facettes qui implique une variété d'acteurs. Il s'agit notamment des gouvernements donateurs et de leurs départements pour l'aide internationale, des organisations internationales, des gouvernements bénéficiaires et des sociétés des pays bénéficiaires. En ce qui concerne ce dernier, l'existence d'une société civile active a été identifiée comme cruciale pour l'avancement des réformes sociopolitiques (Putnam 1995 ; Kaldor 2003 ; Neumayer 2005). Certes, les bailleurs de fonds sont devenus plus conscients de la nécessité de prendre en compte la société civile lorsqu'ils soutiennent des initiatives visant à promouvoir la démocratisation, les droits de l'Homme et la sécurité humaine en général. Le Département britannique pour le développement international (DFID) et l'Agence des États-Unis pour le développement international (USAID), deux des plus grandes agences d'aide soutenues par le gouvernement, ont investi des ressources dans l'étude de l'importance de la société civile dans les pays bénéficiaires et des moyens de encourageant son développement ultérieur (DFID 2012 ; Giffen et Judge 2010 ; USAID 2014). Des travaux plus récents sur la société civile ont cependant reconnu le fait que ces acteurs ne sont pas confinés à des frontières territoriales particulières. Les campagnes de la société civile sont souvent mondiales, impliquant des éléments qui opèrent aux niveaux international et transnational. Un élément, néanmoins, a été globalement négligé à la fois par les décideurs politiques et les universitaires examinant la société civile transnationale, à savoir les communautés de la diaspora. Les réfugiés des décennies précédentes, qui se sont transformés en communautés bien établies en Occident, ont traditionnellement joué un rôle central dans la reconstruction de leur patrie. Mais au fil du temps, ils se sont impliqués dans d'autres aspects de la construction de l'État et de la société dans leur patrie. Comme le conclut l'article, bien qu'il y ait sans aucun doute un empressement parmi les diasporas hautement motivées et talentueuses à contribuer aux changements sociaux et politiques dans la patrie, sur le terrain, il y a des difficultés et des défis. Ces défis peuvent limiter la contribution et entraver l'intégration et la contribution de la diaspora à l'activisme dans le pays d'origine. Les fournisseurs d'aide et les donateurs doivent élaborer des stratégies claires pour intégrer les communautés de la diaspora dans les programmes de développement. Une telle intégration aiderait non seulement à utiliser les avantages que les rapatriés de la diaspora possèdent lorsqu'ils participent à des campagnes de la société civile dans leur pays d'origine, mais pourrait également aider ces rapatriés à surmonter les défis potentiels auxquels ils sont confrontés. Investment in overseas developmental projects is a multifaceted effort which involves a variety of actors. These include donor governments and their departments for international aid, international organisations, recipient governments and the societies in the recipient countries. With relation to the latter, the existence of an active civil society has been identified as crucial for the advancement of socio-political reforms (Putnam 1995; Kaldor 2003; Neumayer 2005). Certainly, aid providers have become more aware of the need to take civil society into account when supporting initiatives aiming to promote democratisation, human rights, and human security in general. The United Kingdom’s Department for International Development (DFID), and the United States Agency for International Development (USAID), two of the largest government-supported aid agencies, have invested resources in exploring the importance of civil society in recipient countries and the avenues for encouraging its further development (DFID 2012; Giffen and Judge 2010; USAID 2014). More recent works on civil society have recognised, though, the fact that such actors are not confined to particular territorial boundaries. Civil society campaigns are often global, involving elements that operate at the international and transnational levels. One element, nevertheless, has been overall neglected by both policymakers and scholars examining transnational civil society, and that is diaspora communities. The refugees of previous decades, which have evolved into well-established communities in the West, have traditionally played pivotal roles in the reconstruction of their homelands. But as time has gone by, they have become involved in other aspects of state- and society-building in the homeland. As the paper concludes, while there is undoubtedly eagerness among highly motivated and talented diasporans to contribute to social and political changes in the homeland, on the ground, there are difficulties and challenges. These challenges may limit the contribution and hinder diasporan integration in, and contribution to, activism in the homeland. Aid providers and donors should develop clear strategies to incorporate diaspora communities in development programmes. Such integration would help not only to utilise the advantages that diaspora returnees possess when participating in civil society campaigns in the homeland, but could also help these returnees to overcome potential challenges that they face. En ligne : https://docs.southsudanngoforum.org/sites/default/files/2020-09/CRP_advantages_c [...] Format de la ressource électronique : PDF Permalink : https://pmb.institutkurde.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=9718

Documents numériques

Advantages and challenges to diaspora transnational civil society activism in the homeland : examples from Iraqi Kurdistan, Somaliland and South Sudan Adobe Acrobat PDF

From rebellion to de facto statehood / Yaniv Voller (2012)    

Public ISBD Titre : From rebellion to de facto statehood : international and transnational sources of the transformation of the Kurdish national liberation movement in Iraq into the Kurdistan regional government Type de document : document électronique Auteurs : Yaniv Voller, Auteur ; Katerina Dalacoura, Directeur de thèse ; London School of Economics and Political Science (LSE) (Londres, Royaume-Uni), Organisme de soutenance Année de publication : 2012 Importance : 325 p. Format : A4 Note générale : Paru en 2014 chez Routledge (Londres) Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Mouvement national kurde. Renouveau. Mobilisation. Identité.  Mouvements d'autonomie et d'indépendance Index. décimale : 0410 BaÅŸûr / Kurdistana Iraqê | Bashur / Kurdistan d'Irak | Bashur / Iraqi Kurdistan | باشوور \ کوردستانی عێراق Résumé : En 1991, après sa défaite lors de la première guerre du Golfe et par crainte d'une catastrophe humanitaire, l'armée et l'appareil d'État irakiens ont été contraints de se retirer des trois gouvernorats à population kurde du nord de l'Irak. Cela a laissé un vide administratif qui a été comblé par la direction du mouvement de guérilla kurde fragmenté - désormais un État kurde de facto dans le nord de l'Irak, connu sous le nom de gouvernement régional du Kurdistan (GRK). Au lieu d'atteindre leur objectif d'un Kurdistan autonome (et à long terme même indépendant) par l'insurrection ou la guérilla, les dirigeants kurdes en sont venus à considérer la construction de l'État et des institutions comme la voie la plus efficace. Le statut d'État de facto a eu un impact significatif sur le développement du GRK, son édification de l'État, son interaction avec la communauté internationale et ses politiques. Comme le démontre la littérature croissante sur les États de facto, la poursuite de la légitimité internationale joue souvent un rôle clé dans la formation de leur conduite et de leur identité, ouvrant la voie à des réalisations substantielles, bien que fragiles, dans la construction de l'État. Le but de cette recherche est de contribuer à l'étude des états de fait en explorant le cas de GRK. L'auteur soutient que la poursuite de la légitimité est essentielle pour la compréhension des États de facto, principalement en raison de son potentiel à générer une interaction entre l'État de facto et différents segments de la communauté internationale. Le plaidoyer transnational s'avère particulièrement important, y compris l'activisme de la diaspora pour transmettre des idées et encourager l'interaction. En examinant l'évolution du mouvement de libération nationale kurde de 1958 à 2010, cette recherche vise à mieux expliquer les dynamiques qui façonnent les États de facto en général, et à contribuer à l'étude du GRK en tant qu'État de facto en particulier, y compris ses développement et ses politiques intérieure et extérieure. In 1991, following its defeat in the first Gulf War and out of fear of a humanitarian catastrophe, the Iraqi army and state-apparatus were forced to withdraw from the three Kurdish-population governorates in Northern Iraq. This left an administrative vacuum that was filled by the leadership of the Kurdish fragmented guerrilla movement – now a de facto Kurdish state in Northern Iraq, known as the Kurdistan Regional Government (KRG). Instead of achieving their goal of an autonomous (and in the long-term even independent) Kurdistan through insurgency or guerrilla warfare, the Kurdish leadership came to see state- and institution-building as the most efficient path. De facto statehood has had a significant impact on the development of the KRG, its state-building, its interaction with the international community, and its policies. As demonstrated in the growing literature on de facto states, the pursuit of international legitimacy often plays a key role in shaping their conduct and identity, paving the way toward substantial, though fragile, achievements in state-building. The purpose of this research is to contribute to the study of de facto states by exploring the case of the KRG. It argues that the pursuit of legitimacy is essential for the understanding of de facto states, mainly due to its potential to generate interaction between the de facto state and different segments of the international community. Transnational advocacy is found to be particularly significant, including diaspora activism for conveying ideas and encouraging interaction. By examining the evolution of the Kurdish national liberation movement from 1958 to 2010, this research aims to better explain the dynamics that shape de facto states in general, and to contribute to the study of the KRG as a de facto state in particular, including its development, and its domestic and foreign policies. En ligne : http://etheses.lse.ac.uk/474/1/Voller_From%20rebellion%20to%20de%20facto%20state [...] Format de la ressource électronique : PDF Permalink : https://pmb.institutkurde.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=9717 From rebellion to de facto statehood : international and transnational sources of the transformation of the Kurdish national liberation movement in Iraq into the Kurdistan regional government [document électronique] / Yaniv Voller, Auteur ; Katerina Dalacoura, Directeur de thèse ; London School of Economics and Political Science (LSE) (Londres, Royaume-Uni), Organisme de soutenance . - 2012 . - 325 p. ; A4. Paru en 2014 chez Routledge (Londres) Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Mouvement national kurde. Renouveau. Mobilisation. Identité.  Mouvements d'autonomie et d'indépendance Index. décimale : 0410 BaÅŸûr / Kurdistana Iraqê | Bashur / Kurdistan d'Irak | Bashur / Iraqi Kurdistan | باشوور \ کوردستانی عێراق Résumé : En 1991, après sa défaite lors de la première guerre du Golfe et par crainte d'une catastrophe humanitaire, l'armée et l'appareil d'État irakiens ont été contraints de se retirer des trois gouvernorats à population kurde du nord de l'Irak. Cela a laissé un vide administratif qui a été comblé par la direction du mouvement de guérilla kurde fragmenté - désormais un État kurde de facto dans le nord de l'Irak, connu sous le nom de gouvernement régional du Kurdistan (GRK). Au lieu d'atteindre leur objectif d'un Kurdistan autonome (et à long terme même indépendant) par l'insurrection ou la guérilla, les dirigeants kurdes en sont venus à considérer la construction de l'État et des institutions comme la voie la plus efficace. Le statut d'État de facto a eu un impact significatif sur le développement du GRK, son édification de l'État, son interaction avec la communauté internationale et ses politiques. Comme le démontre la littérature croissante sur les États de facto, la poursuite de la légitimité internationale joue souvent un rôle clé dans la formation de leur conduite et de leur identité, ouvrant la voie à des réalisations substantielles, bien que fragiles, dans la construction de l'État. Le but de cette recherche est de contribuer à l'étude des états de fait en explorant le cas de GRK. L'auteur soutient que la poursuite de la légitimité est essentielle pour la compréhension des États de facto, principalement en raison de son potentiel à générer une interaction entre l'État de facto et différents segments de la communauté internationale. Le plaidoyer transnational s'avère particulièrement important, y compris l'activisme de la diaspora pour transmettre des idées et encourager l'interaction. En examinant l'évolution du mouvement de libération nationale kurde de 1958 à 2010, cette recherche vise à mieux expliquer les dynamiques qui façonnent les États de facto en général, et à contribuer à l'étude du GRK en tant qu'État de facto en particulier, y compris ses développement et ses politiques intérieure et extérieure. In 1991, following its defeat in the first Gulf War and out of fear of a humanitarian catastrophe, the Iraqi army and state-apparatus were forced to withdraw from the three Kurdish-population governorates in Northern Iraq. This left an administrative vacuum that was filled by the leadership of the Kurdish fragmented guerrilla movement – now a de facto Kurdish state in Northern Iraq, known as the Kurdistan Regional Government (KRG). Instead of achieving their goal of an autonomous (and in the long-term even independent) Kurdistan through insurgency or guerrilla warfare, the Kurdish leadership came to see state- and institution-building as the most efficient path. De facto statehood has had a significant impact on the development of the KRG, its state-building, its interaction with the international community, and its policies. As demonstrated in the growing literature on de facto states, the pursuit of international legitimacy often plays a key role in shaping their conduct and identity, paving the way toward substantial, though fragile, achievements in state-building. The purpose of this research is to contribute to the study of de facto states by exploring the case of the KRG. It argues that the pursuit of legitimacy is essential for the understanding of de facto states, mainly due to its potential to generate interaction between the de facto state and different segments of the international community. Transnational advocacy is found to be particularly significant, including diaspora activism for conveying ideas and encouraging interaction. By examining the evolution of the Kurdish national liberation movement from 1958 to 2010, this research aims to better explain the dynamics that shape de facto states in general, and to contribute to the study of the KRG as a de facto state in particular, including its development, and its domestic and foreign policies. En ligne : http://etheses.lse.ac.uk/474/1/Voller_From%20rebellion%20to%20de%20facto%20state [...] Format de la ressource électronique : PDF Permalink : https://pmb.institutkurde.org/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=9717

Documents numériques

From rebellion to de facto statehood : international and transnational sources of the transformation of the Kurdish national liberation movement in Iraq into the Kurdistan regional government Adobe Acrobat PDF

---

1 (1 - 2 / 2)